2016/09/10

Road & Track explique pourquoi les voitures sont plus sûres que jamais

Voici ce qui explique pourquoi les voitures sont plus sûres que jamais est le titre du reportage de Ezra Dyer dans le mensuel américain Road & Track.

Ces technologies nouvelles (structures de châssis, ordinateurs, etc…) fournissent aussi la raison — la véritable raison — pour laquelle le nombre de décès sur la route, dans tous les pays, baisse sans cesse.

 C'est (beaucoup) moins dû aux radars et aux limites de vitesse qu'aux efforts des constructeurs de voitures.

En d'autres mots, si l'on veut, ce n'est pas le service public qu'il faut remercier — ce ne sont pas tous ses politiciens courageux et tous ses braves fonctionnaires et tous ces autres preux chevaliers blancs à la Che Guevara venus nous secourir et nous sauver qu'il faut remercier — mais bien les affreux capitalistes méchants véreux qui, dans un esprit de compétition "sauvage", améliorent sans cesse, chacun de leur côté, leurs produits…
Considering all of the rapid developments we've seen with electronic safety systems in recent years, it's perhaps counterintuitive that some of the biggest safety improvements in the past decade have come from good old-fashioned steel.

 … David Leone, executive chief engineer for Cadillac, says that the use of high-strength steel isn't about turning passenger cars into invincible tanks but controlling crash energy and minimizing weight.

 … These advances in steel—along with strategic use of other materials such as aluminum, magnesium, and carbon fiber—allow engineers to design structures that can dissipate and redirect crash forces. For example, the new Cadillac CTS uses lightweight aluminum "crush cans" up front to soak up a lot of energy before an impact reaches the passengers. Even the CTS's seat-belt spools unwind slightly during a crash to help minimize forces on your body.

Jacques Julliard : Pour l'extrême gauche, tout est bon pour suggérer que ces crimes ne sont pas des crimes, mais des conséquences


Aujourd'hui, le parti collabo naissant est d'extrême gauche
tempête Jacques Julliard (merci à Lucien Oulahbib), dont les paroles reflètent ce que vit le peuple américain depuis 8 ans (mais aux States, il s'agit du parti au pouvoir ainsi que d'un leader adulé à travers le monde).
C'est celui du «pas d'amalgame» à tous crins ; du «vivre ensemble» à tout prix ; c'est le parti de la psychiatrisation («une poignée de déséquilibrés»), de la contextualisation («des victimes du racisme ambiant»), de la diversion («les fruits du colonialisme») et de la banalisation («le burkini est un vêtement comme un autre»)...
Chaque fois que la France est menacée dans son existence et dans ses raisons d'être, il se forme dans ses marges un parti collabo. Bourguignons de la guerre de Cent Ans, frondeurs du début du règne de Louis XIV, émigrés de Coblence sous la Révolution, vichystes et pronazis de la Seconde Guerre mondiale. D'ordinaire, ce parti est d'extrême droite et se confond avec la réaction. Aujourd'hui, il est d'extrême gauche.

C'est le parti du «pas d'amalgame» à tous crins ; du «vivre ensemble» à tout prix ; de «la faute aux cathos» quand les islamistes égorgent ; c'est le parti de la minimisation («quelques actes isolés sans signification»), de la psychiatrisation («une poignée de déséquilibrés»), de la contextualisation («des victimes du racisme ambiant»), de la diversion («les fruits du colonialisme»), de la banalisation («le burkini est un vêtement comme un autre»). Tout est bon pour suggérer que ces crimes ne sont pas des crimes, mais des conséquences.

C'est surtout le parti de la France coupable. Cette façon de faire son procès quand l'ennemi la calomnie, cette manière de lui tirer dans le dos quand elle est attaquée de face ; ce chauvinisme inversé qui l'accable quand elle est affaiblie ne porte qu'un nom, quels qu'en soient les auteurs : lâcheté ! lâcheté !

Quand la France connut en 1940 les jours les plus noirs de son histoire, le parti de la soumission, avec à sa tête le maréchal Pétain, ne trouva qu'une explication : la France est dans le malheur parce que la France est coupable ! Coupable du Front populaire, coupable de son esprit de jouissance, coupable de son esprit d'insubordination.
 
(...)
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2016/09/06

La sécurité routière aux États-Unis est surtout une affaire de revenus, n'ayant quasiment plus rien à voir avec la sécurité

C'est une question époustouflante que pose AutoBlog, un magazine d'autos américain :
"Se pourrait-il que la sécurité routière ait moins à voir avec la sécurité qu'avec la récolte des dollars?"
Quelle honte de poser une telle question ! Quel cynisme ! Quelle scandale ! Heureusement que ce type de questions n'a pas cours en Europe…
… we seriously question the safety value of pulling vehicles out of a smooth-flowing freeway to issue massive numbers of tickets. As anyone who understands traffic safety well knows, a smooth flow of vehicles all going about the same speed does not cause accidents.

 … From a lifetime of study and observation, I long ago concluded that traffic enforcement in the U.S. has become mostly about revenue, very little about safety anymore. From aggressive enforcement of unreasonably low speed limits to speed and red-light cameras and unreasonably high fines, what evidence is there otherwise?

… Nous mettons sérieusement en doute le bien-fondé d'enlever des véhicules d'une autoroute fluide afin de pouvoir émettre un nombre massif de PVs. Comme toute personne qui comprend bien la sécurité routière le sait, une bonne circulation continue des véhicules allant tous à la même vitesse ne cause pas d'accidents.
… Toute une vie d'étude et d'observations m'ont permis il y a bien longtemps de conclure que l'application de la sécurité routière aux États-Unis est surtout une affaire de revenus, n'ayant quasiment plus rien à voir avec la sécurité. Des radars et de l'application agressive des limites de vitesse anormalement bas aux caméras aux feux rouges et aux amendes déraisonnablement élevées, quelle autre conclusion y a-t'il à tirer ?